Modèle de légende, archétype de la voiture de Grand Tourisme, la berlinette 250 GT a régné sans partage et pendant de longues années sur les circuits comme sur la route.
A l'occasion des 24 Heures du Mans, en Juin 1959, apparaît une nouvelle carrosserie dont le style inspirera le modèle 1960 la 250 GT SWB.
L’empâtement du châssis des Ferrari 250 auparavant de 2 600 mm (LWB) prendra fin avec cette version « intérim » .
Le terme SWB, pour Short Wheel Base (empâtement 2 400 mm), devient culte dans la catégorie GT.
Le moteur comme sur la 250 GT SWB est le traditionnel moteur V12 de 2 953 cm3 ouvert à 60° il est alimenté par trois carburateurs double corps Weber Sa puissance est portée à 260 ch. La transmission se fait par une boîte de vitesses Manuelle à 4 rapports synchronisés.
Le freinage utilise pour la dernière fois des freins à tambour qui seront remplacés pas des disques sur la 250 GT SWB. Les jantes à rayons Borrani de 15 pouces complètent le package.
Le premier prototype est signé Pininfarina mais les cinq voitures suivantes sont construites chez Scaglietti.