Après une saison 2001 où Ferrari et Schumacher remportent les deux titres mondiaux, les stratèges de l'écurie de Maranello décident de débuter la saison 2002 avec la Ferrari F2001, de façon à n'engager la nouvelle F2002 que lorsqu'elle sera parfaitement fiable.
Coté moteur, on continu avec le V10 90° de 2997cc - 40 soupapes avec un puissance amenée à 855 chevaux. La boite électronique séquentielle semi-automatique en titane reste elle en configuration à 7 rapports.
Le châssis Monocoque de la F2002 est toujours moulé en fibre de carbone et d'aluminium en nid d'abeille.
À Imola, les deux pilotes Ferrari disposent de la nouvelle voiture et les pilotes Ferrari signant un doublé.
Schumacher s'impose en Espagne, tandis que Barrichello ne peut pas prendre le départ sur défaillance électronique.
Les problèmes techniques s'acharnent d'ailleurs cette saison sur la F2002 du numéro 2.
Lorsque le Brésilien est devant son leader, comme en Autriche (pole, meilleur tour en course et course en tête) les dirigeants de l'équipe lui intiment l'ordre de laisser passer son coéquipier.
Durant cette saison, seules deux courses échappent aux pilotes Ferrari et Schumacher est sacré champion dès le onzième Grand Prix de la saison, en France tandis que son fidèle lieutenant Barrichello fini à la deuxième du championnat la Scuderia Ferrari remporte elle le titre constructeur.
En 2003, l'engagement de la F2002, invincible cinq mois plus tôt, se solde par un bilan en demi-teinte et L'entrée en lice de la Ferrari F2003-GA se fait toujours attendre.